surf Bali

J’ai quitté la grisaille parisienne pour vivre à Bali

J’ai décidé de tout plaquer pour aller vivre à Bali….

Je rêvais secrètement de vivre à Bali. Pendant longtemps, j’ai joué le jeu.
Le métro, le boulot, les crédits, les semaines qui s’enchaînent sans qu’on sache vraiment pourquoi.
Je gagnais bien ma vie, sur le papier.
Mais je la vivais mal. Sur le plancher.

Paris m’étouffait. Et pire encore : je m’étais habitué. Je m’étais habitué a vivre comme un rat qui doit courir dans une roue sans fin. J’étais devenu malgré moi le prométhée des temps moderne.

Puis, un soir, je me suis réveillé un jour avec cette phrase en tête :
“Tu n’es pas libre, tu es juste docile.”

Alors j’ai tout envoyé balader pour enfin aller vivre à Bali.

Le déclic : quand le confort devient une prison

J’avais 36 ans. Un bon job, un appart dans le 11e, une vie remplie, un portefeuille confortable, des potes “qui réussissent”. Bref, tout sur le papier comme on dit.
Mais à l’intérieur, c’était le néant.

Tu vois, quand la sensation de n’être pas la au bon moment ni au bon endroit ne cesse de grandir en toi jusqu’à’ a créer un fossé? Tu vois ce sentiment? Je le vivais et chaque jour, je rétrécissais dans ce tunnel.
Je rêvais de vivre au soleil, de bosser à mon compte, d’investir, d’écrire, de surfer.
À la place, je vivais pour payer un loyer trop cher, un abonnement à la salle où je n’allais pas, et des verres hors de prix dans des bars où je n’avais plus envie d’aller.

La vérité ?
Le système est bien fait : il te donne juste assez pour ne pas tout plaquer.
Mais pas assez pour que tu sois libre.

Un jour, j’ai fait mes comptes :
👉 J’aurais pu vivre à Bali pendant 2 ans sans stress juste avec mes économies.
👉 Ou continuer à “faire semblant” à Paris, jusqu’à la retraite.
J’ai choisi la première option.

Pourquoi vivre à Bali ?

Pas pour les cocotiers. Ni les clichés. Je sais que beaucoup de gens y vont. Que veux-tu? Faut croire que c’est le vrai paradis. J’ai pourtant longuement hésité à m’ m’expatrier à Malte que j’apprécie aussi beaucoup aussi.

Mais parce qu’ici, avec 2000 € par mois, je vis comme un roi à Bali.
J’ai du temps, de l’air, de l’espace mental.
Et surtout : je construis ma liberté au lieu de la rêver.

J’ai appris à investir intelligemment.
À gagner de l’argent sans vendre mon temps à chaque fois.
À créer des systèmes. Pas juste des revenus.

vivre a Bali

Je ne suis pas devenu “riche

Je suis devenu autonome.

Je ne roule pas en Porsche. Je n’ai pas une Rolex.
Mais je me réveille quand je veux.
Je lis. J’écris. J’investis. Je fais du paddle. Je peux faire du surf surtout.
Et surtout : je ne dépends de personne. Surtout que j’ai appris à vivre de mes dividendes avec des applications comme Degiro ou Trade Republic.

C’est ça, ma définition du succès aujourd’hui.

Est-ce que j’ai investi dans l’immobilier pour vivre à Bali?

Oui. Mais pas comme tu crois. J’ai pas claqué des centaines de milliers d’euros dans une villa avec piscine sur les hauteurs d’Ubud juste pour faire joli sur Instagram.

J’ai investi dans une petite maison, fonctionnelle, bien placée, que je peux louer quand je suis pas là. Vivre à Bali, c’est pas juste une carte postale. C’est un choix stratégique. Moins d’impôts, plus de liberté, et un coût de la vie qui me permet de réinvestir ailleurs. L’immobilier ici, c’est un levier, pas un caprice. Et si t’es malin, tu peux faire pareil, sans te cramer.

Ce qu’il faut savoir avant d’investir dans l’immobilier à Bali?

Investir dans l’immobilier à Bali en tant qu’étranger, c’est pas aussi simple que d’acheter un appart à Marseille. Ici, tu ne peux pas devenir propriétaire en nom propre.

Alors la plupart des investisseurs malins passent par des sociétés locales, comme la PMDN (société avec participation locale) ou la PMA (foreign-owned company).

La PMA, c’est celle que choisissent les étrangers qui veulent investir légalement et à long terme. Elle te permet d’obtenir un droit d’usage (Hak Guna Bangunan) sur 25 à 80 ans.

Mais attention : Pour investir et vivre à Bali, ça demande un bon avocat local, un comptable et un peu de paperasse. Et ça coûte. L’autre option, c’est de passer par un Indonésien de confiance via un contrat de prête-nom… mais là tu joues avec le feu. Si tu veux dormir tranquille et louer ton bien légalement, monte une PMA bien propre. C’est plus cher au début, mais c’est solide. Surtout, il y a des sociétés qui s’occupent de tout. Moi, j’ai opte pour la délégation et dormir serein.

Quelles sont les sociétés pour construire une villa à Bali ?

Si tu veux construire une villa à Bali et que t’es étranger, t’as pas le choix : il faut faire les choses dans les règles, sinon tu risques gros. La voie la plus sûre, c’est de créer une société étrangère type PMA (Penanaman Modal Asing). C’est cette structure qui te permet de détenir un droit d’usage du terrain (Hak Guna Bangunan), de construire légalement, et de louer ta villa à des touristes sans te faire taper sur les doigts. Mais attention, faut pas monter ça tout seul dans ton coin.

Voici quelques entreprises sérieuses à Bali qui accompagnent les étrangers dans ce type de projet :

  • Seven Stones Indonesia : l’une des plus connues, très orientée investisseurs étrangers qui veulent vivre à Bali. Ils gèrent la création de ta PMA, la recherche du terrain, les démarches légales, et même la gestion locative.
  • Emerhub Bali : société internationale présente en Asie du Sud-Est. Ils t’aident à structurer ton business, gérer les visas, et assurer la conformité.
  • Bali Realty : agence immobilière + service de construction + aide à la structuration légale. Très présente sur le terrain.
  • Tropis Living : développeur local qui propose des projets clés en main avec assistance juridique.
  • Indosight : service plus corporate mais fiable, utile pour créer la société et obtenir les permis.

Construire une villa et vivre à Bali, c’est possible, rentable et même excitant… mais c’est un vrai business. Si tu t’entoures pas des bonnes boîtes dès le départ, tu vas perdre du temps, de l’argent, et peut-être ton terrain. Mon conseil : joue-la pro. Monte une PMA, choisis une société qui connaît les règles du jeu, et laisse les amateurs faire des stories pendant que toi, tu poses les fondations de ta liberté financière.

Ce blog, c’est pour toi

J’ai lancé Le Nouvel Investisseur parce que je sais que je ne suis pas le seul.
Il y a des gens comme toi, peut-être, qui sentent qu’il y a autre chose à vivre.
Mais qui ne savent pas par où commencer.

Je vais tout te montrer :
💸 Comment je gère mes investissements
🛠 Les outils que j’utilise
📊 Les erreurs que j’ai faites
📥 Et comment créer des revenus même avec peu

On m’a dit que j’étais fou.

Ils avaient raison. J’étais fou. Fou de la liberté qui m’attendait.

Aujourd’hui, ce sont eux qui m’envoient des messages pour “savoir comment j’ai fait”.

Alors, si tu veux comprendre comment on passe du salariat à la liberté financière , de Paris à Bali, d’avoir plus de discipline, et un meilleur lifestyle, alors :

Bienvenue.

Tu es au bon endroit.

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View Comments (4)
  1. Elliot Alderson

    I can’t believe how much value you packed into this post. It’s a must-read for anyone in the field.

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